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Feuillet déposé sur la grève avec un petit galet dessus.

 

 

Je ne connais pas ton nom. Je n’ai pas vu ton visage, ni même entendu le son de ta voix au-dessus du clapotis de l’eau. Tu ne t’es pas retournée. Tant de choses resteront mystérieuses. Mais, je t’ai rencontrée. Toi, la femme d’or penchée sur l’eau trouble. Toi l’essence-même de l’Inde, la déesse inconnue que je cherchais. J’ai tant voulu comprendre ton pays. J’ai tant erré. Et puis…toi ! Toi l’éclatante, la triomphante. La femme d’Or. (…/…)                  

© Christine Nicolaus

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